(1) Josias Semuujanga estime que l'opération d'anéantissement n'a duré que deux semaines du 6 au 20 avril et qu'elle a éléminé un million et demi de personnes .
C.F. Récits fondateurs du drame rwandais. Discours social, idéologies et stéréotypes,
Paris , L'harmattan, 1998, p.10.

(2) Dominique Franche, Rwanda. Généalogie d'un génocide, Paris, Editions Mille et nuits, 1997, p.7.

(3) Cité in Jean-Pierre Chrétien (sous la direction de), Rwanda : les médias du génocide, Paris, Editions Karthala, 1995, p. 205 .

(4) c.f. Jean-Claude Marlair, Rwanda : les chemins de la mort , Bruxelles, La longue vue, 1997

(5) Ntabiri Kamanzi, Rwanda : du génocide à la défaite, Kigali , Editions Rebero, 1997, p.70-78 et p.125

 

(6) Cité in Rwanda : les médias du génocide , op . cit., p. 193

(7) Yolande Mukagasana, N'aie pas peur de savoir.
Rwanda : une réscapée Tutsi raconte ,
Paris, [Robert Laffont, 1999], j'ai lu, 2000 , p. 24-25.

(8) Déclaration officielle rapportée par Liaison-Rwanda,
n°: 19, p.19, septembre-octobre 1998, p.5

(9) Fréd&eacte;ric Chambon, "Les Tutsis de Kinshasa ont fui la chasse au faciès et les persécutions",
Le Monde, 26 août 1998 ; et " La guerre au Congo , c'est la faute aux étrangers !!", Liaiason-Rwanda, n°:19, op. cit., p.4

(10) c.f. Bejamin Sehene, le piège ethnique, Paris, Dagorno, 1999, p. 191.

(11) ALison des Forges, Aucun témoin ne doit survivre. Le génocide au Rwanda, Paris, Editions Khartala, 1999, p. 250.